L’industrie mondiale de la webcam pour adultes est actuellement valorisée à 1 milliard de dollars de revenus générés par an et connaît une croissance assez rapide.

Bien qu’au niveau mondial beaucoup de ces modèles sont localisées aux États-Unis, une grande majorité habite à l’étranger. Le pourcentage de filles dans la cam qui sont basées aux États-Unis varie de 15 à 35 pour cents sur les sites anglophones. Sur les lives francophones la présence de cammeuses françaises est aussi minoritaire elle représente environ 20 à 30% des filles.

Avant la récession, l’Europe de l’Est constituait la majorité du marché, et représente toujours une majorité. Mais les choses sont en train d’évoluer que ce soit en europe ou aux états-unis.
Comme les webcams prennent une part de plus en plus importe dans le divertissement pour adultes, les modèles américaines et francophones y portent de plus en plus leur attention, grâce au potentiel de gain important.

En Roumanie, la capitale de la cam en europe, les meilleures modèles peuvent gagner plusieurs milliers de dollars par mois. Les filles pauvres avec peu de moyens débutent souvent en travaillant depuis des studios qui offrent des connexions Internet rapides, des webcams haute définition, les chambres, etc..
En échange de l’espace de travail, les studios prennent un pourcentage de la rémunération des modèles.

La Russie est une sorte de zone grise pour les Camgirls. L’activité n’y est pas illégale, mais il existe des lois strictes contre l’homosexualité et les performances avec d’autres modèles ne sont pas autorisées.

En Ukraine, toute sorte de performances sexuelles par webcam est interdite, mais cela n’empêche pas les filles de le faire..

Les autres grandes plaques tournantes pour les livegirls comprennent la Colombie, la République tchèque et les Philippines,

En fin de compte, bien sûr, l’emplacement n’est pas ce qui importe le plus, le plus important est la capacité d’un modèle à se connecter avec les fans , les divertir, échanger, et offrir des shows de qualité.